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Travail en détention : la contrôleure des prisons réclame un cadre plus protecteur

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Adeline Hazan préconise l’élaboration d’un « véritable droit social pénitentiaire », permettant aux détenus de bénéficier d’un contrat de travail. Et plaide pour le développement d’une offre de formation plus adaptée à la population carcérale et tournée vers l’emploi.
Cinq ans après son prédécesseur, Jean-Marie Delarue, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan, observe que les constats dressés à l’époque en matière de travail et de formation professionnelle en détention « restent pour la plupart d’actualité ». C’est ce qui ressort d’un avis qui devait paraître au Journal officiel du 9 février, dans lequel elle dresse un état des lieux de l’offre et des conditions de mise en œuvre des actions en la matière. « Travailleur exclu du droit commun, la personne détenue ne bénéficie toujours pas d’un contrat de travail et du statut juridique qui en découle, déplore Adeline Hazan. Travailler en détention demeure encore trop souvent perçu comme un privilège et non comme un droit. » Quant aux actions de formation professionnelle, elles sont non seulement mises en œuvre avec difficulté en raison de l’insuffisance des moyens…
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