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Mineurs isolés étrangers de Calais : les inquiétudes de la CNCDH

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La Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) a adopté, le 26 janvier, une déclaration sur la situation des mineurs isolés étrangers (MIE) placés en CAOMI (centres d’accueil et d’orientation des mineurs non accompagnés) à l’issue du démantèlement du bidonville de Calais(1). Une déclaration marquée du sceau de l’inquiétude, à propos d’un dispositif très critiqué(2) conçu à l’origine comme transitoire (pour une durée estimée de trois mois, avant que les mineurs puissent être orientés soit vers le Royaume-Uni, soit vers le dispositif de protection de l’enfance de droit commun), dans l’urgence, sans base légale – il est juste encadré par une circulaire du ministère de la Justice(3) – et dérogatoire du droit commun pour les mineurs.Pour rappel, c’est à la fin du mois d’octobre 2016 que les pouvoirs publics ont démantelé le bidonville de Calais, procédant à l’évacuation des migrants vers des centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis dans tout le pays. Les mineurs privés de la protection de leur famille qui avaient été alors repérés ont été conduits vers des CAO qui leur sont spécialement dédiés, les CAOMI(4). La plupart voulaient passer au Royaume-Uni mais, en…
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