Recevoir la newsletter

Menace terroriste : sécuriser sans se précipiter

Article réservé aux abonnés

Poussés par le plan Vigipirate, complété par des guides et une circulaire publiés l’été dernier, les établissements et services sécurisent leurs sites et forment leurs salariés. Un exercice délicat à aborder avec prudence, pour éviter de fragiliser davantage les publics accueillis.
Plus d’électricité, interdiction de sortir et obligation de cacher rapidement les enfants. Voilà la situation à laquelle s’est trouvée confrontée l’équipe d’une crèche associative située près de la porte de Vincennes, à Paris, le 9 janvier 2015. A quelques pas de là, dans un quartier bouclé, les forces de l’ordre s’apprêtaient à donner l’assaut contre le preneur d’otages de la supérette Hyper Cacher. « Les professionnels ont agi au mieux, compte tenu de l’urgence, raconte Philippe Dupuy, délégué national de l’ACEPP (Association des collectifs enfants parents professionnels). Mais avec le recul, l’équipe a regretté que la conduite à tenir face à ce type d’événement n’ait jamais été envisagée. » Rien d’étonnant, tant la situation était alors inédite. Depuis, la survenue d’une attaque ou d’un acte terroriste visant ou touchant une structure sociale ou médico-sociale…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Manager dans le social

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur