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Il faut « en finir avec le délit de solidarité », réclame un collectif

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Le 6 janvier, le tribunal correctionnel de Nice a relaxé un enseignant-chercheur interpellé en octobre alors qu’il emmenait dans sa voiture trois migrantes pour les héberger. Le jugement d’un agriculteur de Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes), poursuivi pour avoir installé une cinquantaine d’Erythréens dans un centre de vacances désaffecté, a, lui, été mis en délibéré au 10 février, tandis que le procès de quatre autres militants du collectif Roya citoyenne, poursuivis pour aide à l’entrée, au séjour et à la circulation d’étrangers en situation irrégulière, aura lieu en mai prochain. Les procédures engagées contre des habitants qui viennent en aide aux migrants en provenance d’Italie ont redonné un coup de projecteur sur le « délit de solidarité », que la loi du 31 décembre 2012 relative à la retenue pour vérification du droit au séjour et modifiant le délit d’aide au séjour irrégulier pour en exclure les actions humanitaires et désintéressées est censée avoir abrogé. Dans un manifeste intitulé « La solidarité, plus que jamais un délit ? », une centaine d’organisations, dont Romeurope, le Comede, Emmaüs France, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex-FNARS), la Fondation Abbé-Pierre,…
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