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Une autonomie à géométrie variable

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Les textes sont clairs : un groupe d’entraide mutuelle (GEM) se caractérise par la gestion directe de ses adhérents. Mais, dans les faits, son indépendance n’est pas toujours acquise…
Les groupes d’entraide mutuelle (GEM) ont des degrés d’autonomie très variables. A un bout de la chaîne, on trouve les GEM autogérés sur le plan administratif et financier, assurant le recrutement des salariés et décidant pleinement des orientations de l’association. A l’autre extrémité, figurent les GEM adossés à une association gestionnaire en charge des salariés du GEM, des locaux et de la gestion des subventions.Souvent issus de collectifsLes premiers, qui s’inscrivent pour la plupart dans une logique d’empowerment et de pouvoir d’agir des membres, sont souvent issus de collectifs existant avant la loi de 2005. A l’instar de Vannes-Horizons (Morbihan)(1) constitué en 1997 à l’initiative de l’antenne locale de l’Union nationale des amis et familles de malades psychiques (Unafam). Au terme d’un long processus, entamé au début des années 2000, une association a émergé composée exclusivement d’usagers – au départ, les bénévoles (travailleurs sociaux, retraités,…
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