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Compte « pénibilité » : un rapport pointe des lacunes et formule des pistes pour améliorer la santé au travail

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« L’objectif premier du compte personnel de prévention de la pénibilité (C3P) n’est pas de favoriser des départs anticipés mais la diminution des conditions de travail pénibles. » C’est ce que martèlent Pierre-Louis Bras (président du conseil d’orientation des retraites), Gaby Bonnand (CFDT, ancien président de l’Unedic) et Jean-François Pilliard (ancien vice-président du Medef) dans un rapport sur les liens entre le compte « pénibilité » et les actions de prévention et de réduction des situations de travail pénibles, remis au Premier ministre le 18 novembre(1). Pour mémoire, avec le compte « pénibilité », les salariés de droit privé exposés à l’un des dix facteurs de pénibilité prévus peuvent accumuler des points sur un compte tout au long de leur carrière, l’idée étant que ces points leur permettent de se former, de travailler à temps partiel sans perte de salaire ou de partir plus tôt à la retraite(2). En contraignant les entreprises à l’alimenter, le C3P permet une « meilleure » appréciation des situations de pénibilité, reconnaît le rapport, qui pointe néanmoins des inquiétudes quant à l’effet du compte sur la pénibilité au travail.Parmi les travers de ce dispositif, note le rapport,…
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