Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Par : Eléonore VariniLecture : 1 min.
Quand on est propriétaire d’un hôtel quasiment en faillite dans les montagnes norvégiennes, la solution ne serait-elle pas de le transformer en centre d’accueil pour réfugiés et de profiter ainsi de subventions bien opportunes ? C’est l’idée de Primus, qui compte se mettre 100 000 € dans les poches dès qu’il aura obtenu l’agrément de l’UDI (l’Office national norvégien de l’immigration). En attendant, il doit gérer l’arrivée de 50 réfugiés d’origines diverses, qui ne parlent ni norvégien ni anglais, et qui ne s’entendent pas entre eux… Ceux que Primus appelle sans distinction « les basanés » ont l’insolence de demander des portes à leurs chambres et des repas chauds, tout ce que l’hôtelier n’avait pas prévu ! Et pourquoi pas un conseil de la vie sociale ? En plus d’être confronté aux services de police et de l’immigration, Primus doit aussi jongler avec sa femme déprimée et son adolescente rebelle. Dans ce joyeux bordel intervient une assistante sociale farfelue, qui ne voit de salut pour les réfugiés que dans la lecture et abreuve l’établissement de bibliothèques, alors même que les résidents réclament des téléviseurs.Si l’humour nordique nous échappe parfois – notamment les blagues…
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