Publié le : Dernière Mise à jour : 07.09.2017Lecture : 1 min.
L’HEURE EST AU « BIG DATA », autrement dit aux mégadonnées stockées sur de volumineux supports informatiques, qui peuvent être traitées par des algorithmes afin d’en extraire des informations utiles dans toutes sortes de domaines : recherche, sécurité, marketing, politiques publiques… L’existence de ces mégadonnées a d’ailleurs permis l’éclosion d’un nouveau genre journalistique : le data-journalisme, qui en extrait des informations présentées le plus souvent sous forme d’infographies ou de « datavisions »(1).Le secteur social possède lui aussi ses « big data », au premier rang desquelles celles produites par la DREES (direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques – voir p. 34 et 36). Sur ses différents sites(2), celle-ci propose en accès libre (« open data ») des dizaines de documents, souvent des tableaux Excel, traitant de toutes sortes de sujets sanitaires, sociaux et médico-sociaux. A une moindre échelle, d’autres acteurs produisent eux aussi des données sur le secteur social et médico-social.Nous aussi, aux ASH, nous avons souhaité mettre un pied, à notre modeste échelle, dans le data-journalisme. Pour cela, nous avons pioché dans les bases de données…
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