Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : É. V.Lecture : 2 min.
Aurelia adore la danse baroque. Celle qui fréquente un hôpital psychiatrique de jour participe avec d’autres patients à un projet de médiation par la danse. Roman et Sifredy vivent dans un squat. Ces frères jumeaux ont connu la captivité, la fuite et les parcours d’insertion. Arlette et Ludovic sont résidents de la ferme du Grand Réal, un ESAT (établissement et service d’aide par le travail) spécialisé dans les cultures agricoles qui accueille des adultes autistes. Thérèse et Bakta sont hébergées – le soir à partir de 19 heures – dans un centre d’hébergement pour sans-abri. Le reste du temps, dix heures par jour, elles marchent dans les rues pour faire s’écouler le temps. Toutes ces personnes sont les protagonistes des films documentaires à l’affiche de la section « Un juste regard social » du festival Traces de vies. Du 21 au 27 novembre, cet événement auvergnat, qui fête sa 26e édition, propose une cinquantaine de films de tous pays en compétition – principalement autour des thèmes « L’appât du gain » et « Animalement vôtre » –, des apéros sonores, une leçon de cinéma et d’autres rencontres professionnelles. Les sept films d’« Un juste regard social » font l’originalité de ce festival…
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