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En dépit de difficultés persistantes, le garde des Sceaux est satisfait de la contrainte pénale

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Pour Jean-Jacques Urvoas, cette alternative à l’incarcération a des effets positifs sur les pratiques professionnelles et la diminution de la surpopulation carcérale, même si des obstacles demeurent (complexité du dispositif, réticences des professionnels à y voir une réelle alternative).
Conformément à la loi du 15 août 2014 relative à l’individualisation des peines et renforçant l’efficacité des sanctions pénales, le ministre de la Justice a remis aux parlementaires, en octobre, son rapport sur la mise en œuvre de ce texte(1), qui, rappelons-le, a notamment créé la libération sous contrainte (voir encadré, page 6) et la contrainte pénale(2). S’il n’avait pas initialement adhéré à ces nouvelles alternatives à l’incarcération – en particulier à la contrainte pénale –, Jean-Jacques Urvoas est désormais « partisan de ces nouveaux dispositifs », a-t-il confié au journal La Croix le 21 octobre. Non seulement « c’est la meilleure façon de lutter contre la récidive », a-t-il précisé, mais ces dispositifs permettent aussi « d’influer positivement sur la population carcérale »… sans oublier qu’ils sont « moins onéreux »(3).Certes, admet le garde des…
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