Recevoir la newsletter

La CPC, outil du dialogue social ?

Article réservé aux abonnés

Après avoir défini le cadre de la réarchitecture des formations, la commission professionnelle consultative du travail social et de l’intervention sociale doit plancher sur les modalités du passage des diplômes de niveau III au niveau II. L’occasion de s’interroger sur le fonctionnement de cette assemblée paritaire placée auprès du ministre chargé des affaires sociales : instance démocratique ou chambre d’enregistrement ?
Depuis 2002, elle œuvrait dans l’ombre. La réforme des diplômes a mis sous le feu des projecteurs la commission professionnelle consultative du travail social et de l’intervention sociale (CPC), instance placée auprès du ministre chargé des affaires sociales dont la fonction principale est de donner des avis sur la création, l’actualisation ou la suppression des diplômes. « Un rôle technique et politique », précise Manuel Pélissié, président de la CPC au titre des employeurs (Unifed).Cette arrivée sur le devant de la scène s’est faite d’abord assez brutalement. En décembre 2014, la CPC provoquait, en effet, l’ire d’une partie des professionnels en proposant, pourtant conformément à la lettre de mission du ministère, de créer…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur