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En bref – Quid des centres d’accueil provisoire et de jour de Calais

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après l’évacuation de la « jungle » ? Alors que le chef de l’Etat a, le 26 septembre, confirmé le « démantèlement complet » du bidonville d’ici à la fin de l’année, les associations s’inquiètent de l’avenir de ces équipements gérés par la Vie active et permettant d’héberger quelque 2 000 personnes (voir notre reportage dans les ASH n° 2955 du 8-04-16, page 20). Dans un article publié le 27 septembre, La Voix du Nord citait la préfecture du Pas-de-Calais, selon laquelle « le démantèlement du campement total comprend également les structures d’accueil », soit le CAP et le centre Jules-Ferry. Se poserait néanmoins la question du calendrier. Dans une lettre ouverte à François Hollande publiée le 29 septembre, cinq associations – l’Auberge des migrants, Emmaüs France, la FNARS, Médecins du monde et le Secours Catholique – indiquent souhaiter que le CAP et le centre Jules-Ferry demeurent pour trouver une solution digne pour ceux qui veulent partir en Angleterre depuis Calais. Dans le cas contraire, arguent-elles, « nous reviendrions exactement à la situation qui a prévalu pendant des années après la fermeture du centre de Sangatte : l’abandon total de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants…
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