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« Les cadres du social : des dominants dominés ? »

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Plusieurs auteurs défendent l’idée que les cadres seraient eux-mêmes pris dans un système de servitude volontaire à l’égard de leur organisation, s’investissant sans compter au nom de la performance et du respect des normes. Ce discours mérite toutefois d’être nuancé, parce qu’il nie la part subjective de tout acteur, analyse Dominique Denimal, assistant de service social, sociologue de formation, lui-même titulaire du Caferuis(1).
« Ce titre aux accents d’oxymore est inspiré de la lecture de deux livres : Des dominants très dominés de Gaëtan Flocco(2) et La performance : une nouvelle idéologie ?, dirigé par Benoît Heilbrunn(3).Ces différents auteurs proposent des éléments d’analyse principalement issus de l’entreprise marchande, mais qui se révèlent avoir une certaine pertinence dans le secteur du travail social.On apprend ainsi que le construit social de la catégorie des cadres est une particularité des pays du sud de l’Europe qui n’aurait pas d’équivalent dans d’autres parties du monde. En France, cette singularité hiérarchique, qui existe “parce qu’elle fait l’objet d’une action délibérée de dénomination”,…
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