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Comment le futur camp de migrants parisien va-t-il fonctionner ?

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« C’est un enjeu de dignité humaine en cohérence avec la tradition d’accueil de notre pays », a déclaré la maire de Paris, Anne Hidalgo. « C’est un devoir inconditionnel pour un Etat de droit comme le nôtre », a renchéri la ministre du Logement, Emmanuelle Cosse. « Nous n’accueillons pas ces personnes parce que ce sont des migrants, mais parce que ce sont des personnes à la rue qui ont besoin de solidarité », a insisté le directeur général d’Emmaüs Solidarité, Bruno Morel. La solennité était au rendez-vous, le 6 septembre, sous les ors des salons de l’Hôtel de Ville de Paris, pour la présentation du camp de transit destiné aux migrants, qui doit ouvrir ses portes dans les prochaines semaines sur deux sites distincts. Le premier, à la mi-octobre, sur un terrain de la SNCF occupé par un ancien entrepôt, boulevard Ney, près de la Porte de la Chapelle (XVIIIe arrondissement) et le second, à la fin de l’année, dans l’ancienne usine des eaux d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), avec l’appui de son maire (PCF), Philippe Bouyssou.Annoncée en mai dernier par Anne Hidalgo, la création de ce camp humanitaire – sur le modèle notamment de celui de Grande-Synthe (Nord) – est rendue nécessaire par les…
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