Protection des femmes contre les violences et lutte contre la traite : le fonctionnement de la Miprof est revu
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Publié le : Dernière Mise à jour : 23.08.2017Lecture : 2 min.
Un décret revoit la composition de la mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (Miprof), pour y intégrer des associations et des instances à caractère administratif. Son fonctionnement est également modifié.Dorénavant, le comité d’orientation de la Miprof compte également en son sein :→ dix représentants d’associations intervenant en matière de violences faites aux femmes et de lutte contre la traite des êtres humains, nommés par le ministre chargé des droits des femmes. Ce, en lieu et place des trois structures locales intervenant en la matière ;→ des représentants de l’Etat, d’établissements publics de l’Etat ou – c’est nouveau – de commissions administratives à caractère consultatif, à savoir :– le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ou son représentant,– le président de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme ou son représentant,– le président du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes ou son représentant.Par ailleurs, l’instance comprend maintenant un comité de coordination chargé de suivre la mise en œuvre des actions…
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