Recevoir la newsletter

Des pistes pour mieux connaître le parcours des femmes ayant recours à l’IVG

Article réservé aux abonnés

Il faut améliorer l’information partagée de tous les acteurs concernés par l’interruption volontaire de grossesse (IVG), plaide la commission sur les données et la connaissance de l’IVG dans un rapport rendu public le 27 juillet(1). Mise en place dans le cadre du programme national d’action pour améliorer l’accès à l’IVG(2), cette commission regroupe les principaux producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs, des institutions et des associations.Depuis 1975, chaque IVG fait l’objet d’une déclaration via un bulletin d’interruption de grossesse établi par un médecin, rappelle la commission. A partir du milieu des années 1990, le système d’information en matière d’interruption volontaire de grossesse s’est enrichi et diversifié grâce aux données médico-administratives hospitalières, à celles de l’assurance maladie et à des enquêtes ponctuelles. Se réjouissant de la « richesse des informations recueillies au niveau national comme local », la commission identifie néanmoins plusieurs pistes d’amélioration. Elle prône ainsi une meilleure connaissance des difficultés d’accès à l’IVG, notamment pour les femmes en situation de précarité, les mineures…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté cour

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur