Des pistes pour mieux connaître le parcours des femmes ayant recours à l’IVG
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : Lydia LagaLecture : 2 min.
Il faut améliorer l’information partagée de tous les acteurs concernés par l’interruption volontaire de grossesse (IVG), plaide la commission sur les données et la connaissance de l’IVG dans un rapport rendu public le 27 juillet(1). Mise en place dans le cadre du programme national d’action pour améliorer l’accès à l’IVG(2), cette commission regroupe les principaux producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs, des institutions et des associations.Depuis 1975, chaque IVG fait l’objet d’une déclaration via un bulletin d’interruption de grossesse établi par un médecin, rappelle la commission. A partir du milieu des années 1990, le système d’information en matière d’interruption volontaire de grossesse s’est enrichi et diversifié grâce aux données médico-administratives hospitalières, à celles de l’assurance maladie et à des enquêtes ponctuelles. Se réjouissant de la « richesse des informations recueillies au niveau national comme local », la commission identifie néanmoins plusieurs pistes d’amélioration. Elle prône ainsi une meilleure connaissance des difficultés d’accès à l’IVG, notamment pour les femmes en situation de précarité, les mineures…
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