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Le Haut Conseil du travail social attendu sur sa capacité à orienter les décisions et les pratiques

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Les ambitions de l’instance suscitent l’espoir d’une meilleure reconnaissance du travail social dans les politiques publiques et d’une plus grande prise en compte des attentes des professionnels et des usagers. A l’instar de sa présidente, ses membres s’engagent avec volontarisme, à plusieurs réserves et regrets près.
La mission stratégique qui lui est confiée, sa vocation interministérielle, l’élargissement de sa composition et les moyens qui lui sont promis devraient conférer au Haut Conseil du travail social ce qui manquait à l’ancien CSTS (Conseil supérieur du travail social) : de la visibilité et de l’influence. S’il faudra attendre sa première séance de travail, le 22 septembre, pour qu’elle entre dans le vif du sujet, l’instance consultative installée le 7 juillet par la secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, Ségolène Neuville (voir ce numéro, page 55), suscite beaucoup d’attentes. A la hauteur des enjeux du plan d’action en faveur du travail social et du développement social, dont elle est la première traduction concrète.Conformément aux vœux de sa présidente, Brigitte Bourguignon, députée…
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