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« Prendre acte de la créativité langagière des enfants Sourds »

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A la suite de la parution du courrier critique de Jean Clarisse, directeur de l’institut national des jeunes sourds de Chambéry(1), le psychanalyste André Meynard a souhaité apporter certaines précisions sur les thèses qu’il défend dans son ouvrage(2). Il souligne, notamment, qu’il n’oppose en rien langue de signes française (LSF) et langue vocale.
« Pour aller à l’essentiel et loin de toute polémique, l’important est de comprendre pourquoi la LSF n’est toujours pas une véritable langue d’enseignement pour les enfants Sourds, contrairement à ce qui se passe dans d’autres pays. C’est notamment à cette question que mon ouvrage répond. D’une part, à partir de ce que ces sujets m’ont enseigné de leur désir de parler avec les mains et d’entendre avec les yeux. D’autre part, en analysant le plus précisément possible les logiques des dispositifs d’accueil et de soin cherchant à sonoriser l’enfant Sourd tout en l’écartant le plus possible de la LSF ! Car, contrairement à ce que laisse entendre ce courrier, il suffit de lire mon introduction pour percevoir que, loin de les opposer,…
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