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Cinq organisations dénoncent la pénurie de moyens des services judiciaires

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Locaux dégradés, matériel manquant ou défaillant, conditions d’accueil déplorables, état de cessation de paiement, professionnels découragés… La pénurie de moyens qui sévit dans les juridictions a de graves conséquences sur le fonctionnement quotidien des services judiciaires, ont alerté ensemble cinq syndicats et associations – l’Association nationale des psychiatres experts judiciaires (ANPEJ), l’Association de politique criminelle appliquée et de réinsertion sociale (Apcars), l’Association des experts traducteurs et interprètes judiciaires (Expertij), l’UNSA Services judiciaires et l’Union syndicale des magistrats (USM) –, le 9 juin au tribunal de grande instance de Paris. Au moment des arbitrages interministériels sur les crédits 2017, et alors que le garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas, a le 14 juin, devant les commissions des lois et finances du Sénat, de nouveau affirmé sa mobilisation pour les moyens de son ministère, leur « volonté est de faire comprendre à Bercy l’importance d’augmenter substantiellement le budget de la Justice », a martelé Virginie Duval, présidente de l’USM.En lui réservant 0,20 % de son produit intérieur brut, la France figure au 37e rang sur 43 pays…
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