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Précarité énergétique : plusieurs associations dénoncent une trahison de l’esprit de la loi

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La loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a prévu d’instaurer un minimum de performance énergétique à respecter pour qu’un logement en location soit considéré comme décent, selon des critères et un calendrier de mise en œuvre devant être définis par décret. Or le projet présenté le 7 juin devant le Conseil national de l’habitat, « sans la moindre concertation préalable », contredit l’ambition législative, s’insurgent une quinzaine d’organisations, dont la Fondation Abbé-Pierre, l’Uniopss, l’UNHAJ, Droit au logement et Soliha (Solidaires pour l’habitat). Alors que, selon l’esprit de la loi, « c’est la vie quotidienne de centaines de milliers de locataires, notamment les plus modestes particulièrement exposés à la précarité énergétique, qui pourrait changer », le projet de décret est « totalement indécent », dénoncent-elles. Tout l’enjeu est d’en finir avec les « passoires thermiques » et d’obliger les bailleurs à engager des travaux d’économie d’énergie. Mais, « au lieu de définir une performance minimale progressant dans le temps, [le texte] s’en remet à six critères qualitatifs, relatifs à l’état des moyens de chauffage, des murs, portes…
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