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« La focalisation sur la mixité sociale permet de se donner bonne conscience »

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La mixité sociale est devenue l’un des axes forts des politiques de logement et d’éducation. Mais cet idéal ne masque-t-il pas des effets pervers et une absence de débat sur la redistribution ? C’est l’idée que développe le chercheur Eric Charmes dans un ouvrage qu’il a cosigné.
Dans une précédente interview aux ASH(1), vous appeliez à ouvrir le débat sur la mixité sociale. Est-ce le cas aujourd’hui ?A l’époque, j’avais publié un article sur le site de La vie des idées, dans lequel je soulignais le décalage existant entre des discours publics assez consensuels sur la mixité sociale en tant qu’objectif à poursuivre de façon volontariste et un discours scientifique plus nuancé sur cette question. Depuis, un certain nombre de choses ont changé, notamment avec l’affirmation, dans les débats académiques et publics, de l’importance d’une dimension que l’on peut qualifier d’ethnoraciale et de la dimension religieuse. A l’inverse, la place du revenu, qui était déterminante, est devenue moins importante. Cela va de pair avec une évolution de la société qui tend de plus en plus à apprécier la diversité d’un quartier à partir de la présence des minorités…
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