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La DPJJ interdit l’usage de portiques de sécurité et de détecteurs de métal dans ses structures

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Dans un avis du 14 avril dernier, la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) s’oppose formellement à l’acquisition et à l’installation de dispositifs de détection individuelle pour assurer la sécurité des biens et des personnes dans les services et les établissements placés sous son autorité.L’acquisition d’un portique de sécurité ou d’un détecteur de métal amovible par un service ou un établissement est « théoriquement possible », explique la DPJJ. Leur utilisation nécessite toutefois l’intervention d’une personne morale ou physique agréée par le préfet de département ou, à Paris, le préfet de police, « et donc l’embauche d’une société privée de sécurité » dont le personnel est habilité à procéder à l’inspection visuelle des « bagages » et, avec l’accord de leur propriétaire, à leur fouille, mais pas à réaliser des palpations de sécurité.Cependant, « au niveau pédagogique », la DPJJ ne juge « pas opportun de procéder à l’installation de ces systèmes [de détection] ». En effet, se justifie-t-elle, « le recours à un détecteur ne rend pas possible la découverte d’éléments susceptibles de porter atteinte à la sécurité, puisque les alertes déclenchées supposent l’intervention…
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