Recevoir la newsletter

La protection des majeurs en quête d’éthique

Article réservé aux abonnés

Promouvoir l’autonomie et les libertés individuelles des personnes vulnérables tout en leur assurant la protection requise par leur état ou leur situation, telle est l’équation complexe à laquelle les acteurs de l’accompagnement tutélaire sont confrontés. C’est dire l’importance, pour les organisations du secteur, de balises éthiques permettant d’interroger le sens de l’action, auxquelles plusieurs d’entre elles travaillent.
« Un majeur protégé n’est pas un mineur en devenir. Il n’a pas besoin d’être éduqué ou surveillé dans ses actes. Il a besoin que ses libertés soient préservées grâce à l’intervention d’une personne qui pourra lui assurer une information adaptée, le conseiller souvent, l’aider parfois, le représenter exceptionnellement. C’est le rôle le plus difficile pour être un professionnel efficace – et c’est pour cela que le métier de mandataire judiciaire à la protection des majeurs n’est certainement pas un travail comme un autre. » C’est ainsi que Laurence Pécaut-Rivolier, inspectrice générale adjointe des services judiciaires, résume l’exercice délicat que constitue l’accompagnement tutélaire(1). Pour « protéger sans jamais diminuer »(2),…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur