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La subjectivité du handicap

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Les handicaps psychiques, mentaux et cognitifs renvoient à des situations différentes : les premiers sont liés à une maladie psychiatrique ou un accident neurologique, les seconds à une altération intellectuelle et les troisièmes à des limitations cognitives. Pourtant, le conseil scientifique du FIPHFP (Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique), à l’origine de cet ouvrage, développe que, du point de vue de l’accès et/ou du maintien dans l’emploi « ordinaire », ces trois catégories de handicaps butent sur le même obstacle : le fait d’être difficiles à cerner. Cela tient à la diversité de leurs champs d’expression – certains très concrets, comme l’accès à l’information ; d’autres beaucoup plus subtils, comme les problématiques d’isolement – et à leur grande variabilité dans le temps, ainsi que d’une personne à l’autre. « Dans le cas des altérations psychiques, mentales et cognitives, [l’employeur] est confronté à la complexité de la délimitation et de l’évaluation des difficultés des personnes », souligne le FIPHFP. C’est pourquoi il s’agit de cesser de penser le handicap comme une caractéristique de la personne que l’on pourrait évaluer, et l’appréhender…
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