Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : É. V.Lecture : 3 min.
Problèmes d’hygiène ou d’incontinence, atmosphères confinées… Des effluves désagréables parfois présents au sein des ESMS peuvent déranger le personnel, les résidents tout comme les visiteurs.
Selon un arrêté du 26 avril 1999, « les odeurs existant au sein d’un établissement social et médico-social constituent un des indicateurs de la qualité des prises en charge ». Des odeurs agréables et conviviales comme celles des repas sont bienvenues, celles qui sont désagréables, notamment liées à une mauvaise gestion de l’incontinence de certains résidents, sont « à éviter ». « La plupart des directeurs vous diront que ça ne sent pas mauvais dans leur structure, car ils craignent qu’on assimile mauvaises odeurs et saleté – ce qui n’est pas forcément vrai –, mais quand on creuse un peu, on se rend compte qu’il peut y avoir des odeurs aussi variées que celles provenant des urines, des excréments, d’escarres, de vomi, sans oublier les odeurs de remontées d’égout et du local poubelle, de nicotine, de linge humide, explique Brigitte Duclou, présidente de Cibly, fabricant de produits destructeurs d’odeurs. Et si on ne traite pas immédiatement ces odeurs, elles…
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