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Les habitants des quartiers prioritaires cumulent les fragilités sociales, confirme l’INSEE

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Alors que l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV) a publié, le 3 mai, son premier rapport sur la situation dans les nouveaux quartiers prioritaires (voir ce numéro, page 5), une étude de l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) rendue publique en parallèle recoupe en grande partie ses constats. Elle confirme que les quelque 4,8 millions d’habitants des 1 296 quartiers de la politique de la ville en métropole présentent d’autres facteurs de fragilité sociale que les seuls critères de revenus et de niveau de vie, et notamment des difficultés d’insertion professionnelle particulièrement élevées(1).De fait, ces quartiers concentrent, par définition, « une part importante de la pauvreté monétaire des zones urbaines », puisque 42 % de leurs habitants, en moyenne, ont un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté (de 37 % des habitants des zones prioritaires franciliennes à plus de 47 % en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées). Trois régions – Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Provence-Alpes-Côte-d’Azur – rassemblent d’ailleurs plus de la moitié (58 %) de la population concernée, rappelle l’INSEE,…
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