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Demande d’asile : la justice contraint l’Etat à respecter les délais de convocation en préfecture

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Depuis l’entrée en vigueur de la réforme du droit d’asile, en novembre dernier, les associations n’ont de cesse de le dénoncer : le « pré-accueil » des candidats à la protection internationale au sein des plateformes d’accueil et d’accompagnement des demandeurs d’asile (PADA), gérées le plus souvent par des associations, avant qu’ils puissent faire enregistrer leur demande, aboutit, dans les départements les plus sollicités, à l’engorgement du système. La file d’attente commence devant ces plateformes qui, chargées de délivrer les convocations aux guichets des préfectures, reçoivent le nombre de personnes que ces dernières estiment pouvoir accueillir. Elles « disposent d’un quota de rendez-vous attribué parcimonieusement par l’autorité préfectorale, ce qui les conduit à refuser de nombreuses personnes qui se présentent chaque jour à leurs portes », indique le Collectif asile en Ile-de-France, composé notamment des délégations régionales Ile-de-France de la Cimade et du Secours catholique, de Dom’Asile et du GISTI (Groupe d’information et de soutien des immigrés).Les étrangers sont donc loin de pouvoir faire enregistrer leur dossier dans les trois jours ouvrés (dix jours en cas d’afflux),…
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