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« Donner du sens à sa vie est le principal invariant socio-anthropologique de l’adolescence »

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L’adolescence reste une période périlleuse. Dans une société de plus en plus individualisée, les repères manquent pour conduire les jeunes vers l’âge adulte. D’où, parfois, des conduites à risques qui font office de rites de passage intimes, analyse le sociologue David Le Breton, qui a codirigé un ouvrage privilégiant une lecture panoramique de l’adolescence.
Vous défendez, dans cet ouvrage, une approche spécifique de l’adolescence. Quelle est sa particularité ?Il s’agit de croiser des données sociologiques, relevant du social, du culturel, du genre…, avec d’autres relevant de l’anthropologique, c’est-à-dire de la condition humaine. L’objectif est d’essayer de déconstruire nos évidences par le prisme d’autres périodes de l’histoire ou d’autres sociétés humaines. Nous recherchons ainsi l’extrême singularité tout en resituant ces données dans notre condition humaine commune. Plusieurs de mes anciens doctorants ont participé à cet ouvrage, ainsi que des chercheurs, dont Denis Jeffrey et Jocelyn Lachance. Et ce qui structure leurs contributions c’est ce regard sur une période d’entrée dans la vie adulte marquée par la difficulté de prendre son envol…
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