Les syndicats représentant les personnels des SPIP ressortent déçus du ministère
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : M. LB.Lecture : 2 min.
La déception prévaut chez les trois organisations syndicales représentant les salariés des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), qui étaient reçues par le garde des Sceaux le 19 avril. Deux semaines plus tôt, le collectif CGT Insertion-probation, le Syndicat national de l’ensemble des personnels de l’administration pénitentiaire (Snepap)-FSU et la CFDT Interco-justice lui avaient exposé leurs revendications, sur fond de mobilisation des services pour la reconnaissance de leurs missions et l’amélioration de leurs conditions de travail(1). Jean-Jacques Urvoas avait alors annoncé l’ouverture de discussions et renvoyé la présentation de « réponses techniques précises » à une deuxième rencontre. Lors de celle-ci, le ministre a « proposé un calendrier précis pour permettre de nouer des discussions autour d’une réforme statutaire », ont indiqué ses services dans un communiqué. Il a également signalé « son souhait d’intégrer les revendications indemnitaires dans le cadre des négociations interministérielles présidant à la définition du budget du ministère de la Justice ». Mais les syndicats déplorent n’avoir « aucune visibilité » sur ces intentions, dont le sort reste…
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