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Des sénateurs déplorent l’insuffisance des moyens et du pilotage de la lutte contre la traite des êtres humains

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Selon les statistiques de l’Organisation des Nations unies, 70 % des victimes de la traite des êtres humains sont des femmes et des jeunes filles. Un phénomène qui s’inscrit donc « dans la continuité des violences faites aux femmes », relève la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes du Sénat qui s’est penchée, dans un rapport récemment publié(1), sur les actions mises en œuvre en France pour le combattre.Garantir plus de moyens financiers et humainsPour la délégation, la politique de lutte contre la traite des êtres humains est « une politique publique récente, dont le pilotage est encore perfectible ». Et c’est la mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (Miprof) qui est chargée, depuis 2013, de la coordonner. Mais, dotée de « compétences très larges », elle ne dispose que de faibles moyens pour les exercer. En effet, souligne le rapport, la mission ne reçoit pas de crédits spécifiques pour conduire son action. Quant à ses effectifs, ils se résument à trois équivalents temps plein et à un temps partiel. En outre, « la logique interministérielle qui…
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