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Travail social, option humanitaire

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Le centre Jules-Ferry, accueil de jour et centre d’hébergement, est ouvert aux réfugiés qui se pressent à Calais dans l’espoir d’un passage vers la Grande-Bretagne. Les travailleurs sociaux y font face à une situation inédite, avec un flux de 2 500 personnes en moyenne chaque jour.
En première ligne de la crise humanitaire et migratoire européenne, le centre Jules-Ferry(1), à Calais, reste unique en France, un an après sa création. Géré par l’association La Vie active, il réunit un accueil de jour, qui distribue quotidiennement jusqu’à 3 200 repas, et deux centres d’hébergement. Le premier compte 400 places pour les femmes (une moitié en modulaires, l’autre moitié en tentes chauffées) et le second, nommé CAP (centre d’accueil provisoire), 1 500 lits pour les hommes et les familles (dans des conteneurs aménagés). Jules-Ferry répond à l’urgence sociale par une mise à l’abri, ce que font des travailleurs sociaux un peu partout en France lors des vagues de froid hivernales, mais ici le nombre de personnes à aider explose les normes habituelles (en moyenne, 2 500 personnes par jour). Stéphane Duval, le directeur de Jules-Ferry, en est persuadé :…
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