Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : Maryannick Le BrisLecture : 2 min.
Les « états généraux alternatifs du travail social », lancés le 16 octobre dernier(1) à l’initiative de la CGT, la FSU, Solidaires, la Fédération autonome de la fonction publique, du collectif Avenir éducs et de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), se poursuivent dans les territoires. Après plusieurs débats récemment organisés en région, dont un sur la protection de l’enfance le 11 mars à Rennes, la démarche, destinée à mobiliser les professionnels sur le sens de leurs missions et leurs conditions d’exercice, a été déclinée le 5 avril dans la Seine-Saint-Denis. Plus de 100 personnes se sont réunies à la bourse du travail de Bobigny, à l’appel d’une intersyndicale représentant plusieurs secteurs d’intervention (santé, éducation, protection judiciaire de la jeunesse, emploi, médico-social, prévention…).A l’issue de cette journée de « formation intersyndicale », « il a été décidé de dresser un état des lieux des manques, en matière de moyens et de prise en charge, et de construire des réponses », explique Adélaïde Antore, assistante sociale scolaire membre du Syndicat national unitaire des assistants sociaux de la fonction publique-FSU. Il est ressorti des débats « un décalage…
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