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Le président du CNLE souhaite que la France ne participe pas au renvoi des demandeurs d’asile en Turquie

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Une procédure « inadmissible et intolérable », en contradiction avec « les lois internationales sur le droit d’asile » et « les valeurs défendues par la France ». Dans un communiqué du 1er avril, le président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE), Etienne Pinte, ne mâche pas ses mots pour dénoncer l’accord conclu entre Bruxelles et Ankara le 18 mars dernier(1) et exhorter le gouvernement français à ne pas participer à sa mise en œuvre.Pour mémoire, cet accord prévoit notamment le renvoi systématique de tous les migrants arrivés en Grèce en provenance de Turquie après le 20 mars et dont la demande d’asile aura été refusée(2). Athènes attend à cet égard des renforts en effectif de la part de l’Union européenne (UE) pour l’aider dans cette tâche. En contrepartie, pour chaque Syrien renvoyé en Turquie, un autre Syrien sera « réinstallé » sur le territoire européen, dans la limite de 72 000 relocalisations.« Un réfugié n’est pas une marchandise échangeable et ne peut être assimilé à un “quota laitier européen” », écrit Etienne Pinte. « La France doit défendre le respect du droit international, de la solidarité européenne et de la dignité…
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