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La justice restaurative vise à apaiser l’auteur et la victime

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L’expérimentation de la fédération Citoyens et justice visant à développer la justice restaurative dans le cadre de mesures socio-éducatives (voir ASH n° 2944 du 22-01-16, page 14) risque de dénaturer la qualité des échanges entre l’auteur de l’infraction et la victime, estiment Sabrina Bellucci, directrice générale de l’Institut national d’aide aux victimes et de médiation, Robert Cario, président de l’Institut français pour la justice restaurative, et Philippe Pottier, directeur honoraire de l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire.
« La fédération des associations socio-judiciaires Citoyens et justice a récemment fait état de la signature d’une convention de partenariat avec l’Association de recherche en criminologie appliquée (ARCA) visant notamment à mener (durant dix-huit mois environ sur six sites pilotes) une recherche-action sur “la conceptualisation et l’opérationnalisation de la justice restaurative” et à élaborer des parcours de formation. Il convient de se réjouir de l’intérêt ainsi porté, par un acteur majeur de la chaîne pénale, à une question primordiale…
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