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Fin de vie : l’IGAS émet des recommandations pour promouvoir les directives anticipées

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En 2009, seulement 2,5 % des personnes décédées avaient rédigé des directives anticipées, constate l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) dans un rapport, récemment publié, où elle formule plusieurs recommandations pour promouvoir cette pratique(1).Peu connu du grand public et des professionnels de santé, le dispositif des directives anticipées, institué par la loi « Leonetti » du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, a été renforcé par la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie(2). Les directives anticipées – qui permettent à toute personne majeure de faire connaître sa volonté relative à sa fin de vie pour ce qui concerne les conditions de la poursuite, de la limitation, de l’arrêt ou du refus de traitement ou d’actes médicaux, dans le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté – s’imposent dorénavant au médecin, sauf dans certains cas prévus par la loi (urgence vitale, notamment).Pour l’IGAS, la priorité est donc de faire connaître la nouvelle loi par tout moyen (campagne d’information grand public, formation et information des professionnels et des associations…
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