Le GEPSo examine les forces et les faiblesses de différents modes de coopération
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Publié le : Dernière Mise à jour : 01.09.2017Par : Noémie ColombLecture : 2 min.
Alors que,dans un souci de rationalisation, les pouvoirs publics incitent les structures sociales et médico-sociales à se rapprocher, le Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (GEPSo) a mené une étude de terrain pour mesurer l’impact des coopérations entre les établissements et services sociaux et médico-sociaux publics sur l’accompagnement des usagers. Il a interrogé par questionnaire plus de 70 structures et mené une quinzaine d’entretiens avec des directeurs et deux institutions publiques en Loire-Atlantique. Trois types de dispositifs ont été comparés : la convention, la direction commune d’établissements et le groupement de coopération sociale et médico-sociale (GCSMS).Premier constat : quel que soit le type de coopération, une dégradation de la situation pour l’usager est « très rarement évoquée ». Les résultats montrent que la convention semble la coopération « la plus efficiente en termes d’impact direct sur l’usager » et permet, selon 78 % des répondants l’ayant mise en place, « d’améliorer la diversification de l’offre et la fluidité des parcours ». L’une des explications tient au fait que l’implication des professionnels a lieu dès l’origine…
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