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Face à la « radicalisation » du social, osons !

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Un phénomène de « radicalisation » gangrène aussi de l’intérieur l’administration du secteur social, déplore Laurent Ott, formateur et chercheur en travail social(1). Pourtant, face au dangereux durcissement des procédures, des discours et des logiques d’action, le travailleur social n’est nullement obligé d’obéir…
« Nous n’assistons certainement pas, actuellement, à une seule forme de radicalisation. Si nous élargissons un peu notre champ d’observation, nous pouvons constater que cette radicalisation est un facteur commun à de nombreux domaines : judiciaire, policier, économique, administratif et social. Ces mouvements de radicalisation sont en lien les uns et les autres. Ils se répondent, se soutiennent et se justifient mutuellement. En un mot, ils font système.Ils correspondent, contrairement à l’étymologie du mot “radical”, au durcissement d’une société qui renonce à traiter les causes et les racines de ses problèmes. Il ne s’agit plus que de gérer les conséquences les plus visibles et de se protéger des conséquences les plus désastreuses d’une société qui se précarise : désorientation, perte du lien social…
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