« L’approche du “logement d’abord” favorise l’accès aux droits »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : M. LB.Lecture : 3 min.
L’Agence nouvelle des solidarités actives (ANSA) devait, le 4 février, lors d’une journée d’échanges de la délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL), présenter une évaluation des dispositifs lauréats en 2013 de l’appel à projets sur l’innovation sociale lancé par cette dernière(1). Explications de Ben Rickey, responsable de projet à l’ANSA.
Pourquoi avoir mené cette évaluation ?En collaboration avec la DIHAL, nous avons décidé de mener une évaluation des dispositifs lauréats en 2013, pour lesquels nous avions le plus de recul. Sur les 20 concernés(2), nous avons pu en évaluer 16, avec les porteurs de projets, dans l’objectif de comprendre leurs effets en termes d’accès et de maintien dans le logement, d’accès aux droits et d’insertion professionnelle, avec une question structurante : est-ce que le principe du « logement d’abord » peut s’appliquer à tous les publics sans domicile(3) ? L’échantillon concerne 218 bénéficiaires répartis en quatre « publics cibles » : les sortants de prison, les jeunes en errance, les grands exclus qui présentent notamment des troubles de la santé…
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