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Verbaliser, contrainte ou soupape ?

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Témoigner de l’intérêt de l’analyse de la pratique à partir de sa place de participant à ce type de réunions, telle est la règle du jeu que Jeannine Duval-Héraudet, psychopédagogue, a proposée aux rééducateurs de l’Education nationale et aux équipes d’ITEP (instituts thérapeutiques, éducatifs et pédagogiques) auprès desquels elle intervient comme superviseure. « L’objectif posé au départ était un partage, une transmission, une publication », explique la coordonnatrice de l’ouvrage. Les professionnels à qui l’invitation à s’exprimer avait été lancée n’ont pas tous souhaité exposer leur expérience, les plus réservés à cet égard étant les intervenants d’ITEP. Mais le faisceau de leurs plus rares contributions éclaire sur l’« épreuve » que constitue l’accompagnement d’enfants eux-mêmes en grande souffrance. Dans ce contexte, l’analyse de la pratique (AP) est bien sûr une soupape, mais peut aussi apparaître comme une corvée. « Jeudi matin à 8 heures, je réalise que c’est mon groupe qui a AP ce soir. Et la seule chose que je peux en dire en attaquant la journée, c’est : pffff, ça me saoûle », confie Pascale Jallat, monitrice. Avant de reconnaître à 18 heures : « Ça m’a vraiment fait du bien,…
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