Naissance de l’« Institut de la précarité et de l’exclusion sociale »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 08.09.2017Par : M. LB.Lecture : 2 min.
Le Centre d’accueil et de soins hospitaliers (CASH) de Nanterre et l’université Paris-Ouest de Nanterre-La Défense organisaient, le 27 janvier, le symposium inaugural de l’Institut de la précarité et de l’exclusion sociale (IPES), fruit de leur partenariat. Jacques Hassin, chef du pôle de médecine sociale au CASH et directeur de l’IPES, décrit les enjeux de cet ambitieux projet.
Comment est née cette idée de partenariat ?Depuis la naissance de l’Observatoire du SAMU social de Paris, que j’ai créé et dirigé à partir de 1996, cheminait l’idée que tout ce qui faisait l’objet d’estimations sur la précarité et l’exclusion devait donner lieu à des travaux de recherche scientifique regroupant les dimensions sociale, médico-sociale et de santé publique, au-delà des champs de l’observation socio-économique ou médicale habituellement explorés. Le projet est aussi né du constat qu’au CASH de Nanterre, établissement public ayant pour mission l’accueil et l’hébergement des personnes sans abri, le service public hospitalier et l’hébergement et le soin des personnes âgées et handicapées, l’articulation entre le sanitaire et le social est une réalité. Mais…
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