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Désinstitutionnalisation : la « technique du leurre »

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Le discours sur la désinstitutionnalisation n’est qu’un nouvel habillage d’un débat aujourd’hui dépassé visant, sous couvert de la valorisation de la capacité d’autonomie et d’initiative des individus, à diminuer les financements publics, dénonce Gérard Zribi, directeur général de l’Afaser et président d’Andicat(1).
« Depuis deux à trois ans, revient avec force la thématique de la désinstitutionnalisation. Celle-ci a alimenté des débats assez vifs dans les années 1960 et 1970. Elle accompagnait alors en France, dans d’autres pays européens (Italie, Angleterre) ou encore aux Etats-Unis, la fermeture massive de lits psychiatriques pour favoriser la psychiatrie dans la communauté, mais aussi les évolutions des pratiques sociales et médico-sociales (nos exemples seront pris dans le domaine du handicap mental et du handicap psychique), avec la promotion de réponses diversifiées, ouvertes et intégrées à leur environnement.C’est ainsi qu’ont été développés les hôpitaux de jour, les centres médico-psychologiques, les centres d’accueil thérapeutiques à temps partiel, les appartements thérapeutiques… pour la santé mentale…
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