Recevoir la newsletter

En bref – Droit à l’eau.

Article réservé aux abonnés

Les réductions de débit d’eau pour impayés dans une résidence principale sont tout aussi illégales que les coupures d’eau, a décidé le tribunal d’instance de Limoges. Statuant en référé le 6 janvier, il a ordonné à une société de distribution et de gestion des services d’eau de restaurer le débit normal d’arrivée d’eau au domicile d’une mère et de sa fille, sous astreinte provisoire de 100 € par jour de retard, à compter d’un délai de huit jours. S’appuyant sur une décision du Conseil constitutionnel validant, en mai 2015, l’interdiction totale des coupures d’eau pour impayé dans une résidence principale (voir ASH n° 2913 du 5-06-15, page 16), le juge des référés a considéré en effet que la faiblesse du débit du courant d’eau au sein du domicile constitue un trouble manifestement illicite qu’il convient d’arrêter, car l’exigence de disposer d’un logement décent n’apparaît pas compatible avec la diminution du débit d’eau.
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Veille juridique

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur