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Dépôt des Ad’AP : le secteur social et médico-social dans l’expectative

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Pour se conformer à l’obligation de déposer des agendas d’accessibilité programmée (Ad’AP), les structures sociales et médico-sociales ont déployé des stratégies très diverses. Mais toutes se voient confrontées à la même inconnue : le financement des travaux.
Quand la sous-préfecture l’a convoquée à la fin novembre pour lui annoncer que son Ad’AP était rejeté, Maryse Lacoste n’a pas été franchement surprise : « Je m’en doutais, j’avais eu des échos par d’autres collègues », soupire la directrice de l’EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) Marie-Caudron, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). La cause du refus ? Un dossier incomplet. « Il manquait les plans du bâtiment après travaux et le plan de financement, admet Maryse Lacoste, mais la réalisation de ces plans représentait un coût non négligeable pour une petite structure mono-établissement. Et comment fournir un budget tant que les tutelles n’ont pas validé le plan pluriannuel d’investissement correspondant ? » Impossible d’y couper, la directrice devra déposer un nouveau dossier. D’ici là, les « bricoles » seront réalisées en interne : pose de nez de marche contrastés,…
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