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Le programme de la nouvelle présidence de l’UE marqué par la crise migratoire et la radicalisation

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Les principales priorités sociales des Pays-Bas, qui président depuis le 1er janvier, pour six mois, le Conseil de l’Union européenne (UE), graviteront inévitablement autour de la crise migratoire et de la montée des radicalismes religieux. « Il faut s’attaquer à la fois aux causes politiques et économiques des migrations et au trafic d’êtres humains, au retour dans le pays d’origine et à la surveillance des frontières », indique son programme dans son calendrier de travail, publié le 7 janvier.La formation « justice et affaires intérieures » du Conseil s’efforcera de favoriser l’avancement et la mise en œuvre de l’agenda européen en matière de migration, présenté en mai dernier(1), ainsi que des propositions complémentaires de la Commission européenne en la matière. Les Pays-Bas entendent « progresser vers une répartition équitable des responsabilités en matière d’arrivée des demandeurs d’asile sur le territoire européen et de traitement des demandes, et continuer à œuvrer au renforcement de la sécurité des frontières extérieures de l’Europe ». Les propositions législatives sur le mécanisme de relocalisation présentées par la Commission et l’élaboration d’une liste européenne des…
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