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Les associations veulent que soit décrété l’« état d’urgence social »

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« S’il y a un état d’urgence sécuritaire, il y a aussi un état d’urgence économique et social. » Au-delà de cette formule qui a fait écho à leur propre expression utilisée quelques heures plus tôt, les vœux aux Français du chef de l’Etat, le soir du 31 décembre, n’ont pas – hormis une annonce sur la formation des chômeurs – répondu aux attentes des membres du Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement et de l’hébergement des personnes sans abri et mal logées. Ses représentants s’étaient réunis le matin même pour « exprimer ce que l’on aimerait entendre » de la bouche du président, a expliqué Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé-Pierre et porte-parole du Collectif, à l’occasion de cette rencontre. Avant de souligner que l’allocution présidentielle allait se tenir « dans un contexte très tendu, sur le front de la sécurité mais aussi sur ceux de la question sociale et du mal-logement, deux sujets que le collectif considère comme maltraités ».Le pays se trouve en effet dans une « situation d’urgence sociale », a renchéri Florent Gueguen, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale…
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