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« Le bac pro a moins un problème d’image que de lisibilité »

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Créé en 1985, le baccalauréat professionnel a remplacé les BEP et une partie des CAP. Si cette filière a permis d’améliorer la qualification de centaines de milliers de jeunes, parfois en leur donnant accès aux études supérieures, elle reste aussi pour beaucoup une voie sans issue. L’analyse du sociologue Emmanuel Sulzer, qui a piloté une publication du Céreq sur le sujet.
Le bac pro est né en 1985. A quels besoins répondait-il ?Historiquement, le baccalauréat professionnel résulte de la conjonction d’une volonté politique d’augmenter le nombre de bacheliers et de la conviction du patronat, en particulier dans l’industrie, que l’on allait assister à un accroissement du niveau de qualification des opérateurs. De nombreux secteurs d’activité, au premier rang desquels la métallurgie et l’électronique-électrotechnique, se sont donc engouffrés dans le nouveau système. Seuls le bâtiment et l’hôtellerie-restauration, traditionnellement marqués par un fort poids du CAP et de l’apprentissage, sont restés en retrait. Puis on a vu apparaître des bacs pro tertiaires, par exemple le secrétariat, qui n’étaient pas poussés par les branches professionnelles.…
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