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« Pour ne pas disparaître, le Caferuis devrait être hissé au niveau I »

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Contraintes budgétaires, refonte de l’architecture des diplômes… Des menaces pèsent sur le Caferuis, alors qu’il devrait être au contraire valorisé, estime Sophonie Perard, présidente de la Fédération française de l’encadrement intermédiaire (FFEI).
Quelles sont vos préoccupations ?Nous constatons que le Caferuis [certificat d’aptitude aux fonctions d’encadrement et de responsable d’unité d’intervention], qui atteste de compétences nécessaires pour gérer une unité d’intervention dans le champ social et médico-social, est menacé par des enjeux économiques : nous assistons à la mise en place de formations privées ou internes au management, à la création, notamment dans les petites structures, de postes de coordonnateurs occupés par des éducateurs spécialisés, à qui l’on demande d’assumer une fonction de cadre sans qu’ils en aient le statut. Ces systèmes moins coûteux sont en train de supplanter un diplôme inscrit au niveau II du RNCP [répertoire national des certifications professionnelles], qui a fait ses preuves et a évolué depuis dix ans. La situation ne devrait pas s’arranger avec la réforme de la formation professionnelle et sa déclinaison…
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