Recevoir la newsletter

Participation : il y a loin de la coupe aux lèvres

Article réservé aux abonnés

Loi après loi, la nécessité d’associer davantage les usagers aux mesures qui leur sont dédiées est réaffirmée. Mais les principes ont du mal à passer dans les pratiques.
La loi 2002-2 rénovant l’action sociale et médico-sociale a fait obligation aux établissements et services sociaux et médico-sociaux de mettre en œuvre la participation des usagers aux décisions les concernant. Les outils proposés autorisent différents registres de participation, qui vont de la simple information des personnes – parents et enfants dans le cas de la protection de l’enfance – jusqu’à une prise de décision commune des intéressés avec les professionnels.Application « a minima » ?Or « 13 ans après la promulgation de la loi, la France fait encore trop figure d’élève en difficulté », dénonce dans un ouvrage(1) le collectif Agir ensemble pour les droits de l’enfant (AEDE), qui rassemble une cinquantaine d’organisations(2). Le collectif s’inquiète notamment des risques d’une « participation au rabais », selon laquelle les établissements ne chercheraient qu’à se mettre en conformité avec la loi, en introduisant « de manière procédurale » quelques outils (livret d’accueil,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur