Recevoir la newsletter

Mathias Gardet : « Ce qui est perçu comme nouveau l’est souvent moins qu’on ne le croit »

Article réservé aux abonnés

Pour Mathias Gardet, historien et vice-président du Conservatoire national des archives et de l’histoire de l’éducation spécialisée (Cnahes), le recours aux archives est indispensable pour que les travailleurs sociaux se réapproprient leur histoire.
Quelle est la pertinence du Cnahes aujourd’hui ?Il reste d’une actualité brûlante pour les travailleurs sociaux présents et à venir. Le public qui suit mes séminaires à l’université Paris-8 dans le département des sciences de l’éducation est constitué de jeunes professionnels – éducateurs spécialisés, assistants de service social, conseillers en économie sociale et familiale, infirmiers psychiatriques… – et d’étudiants en travail social. Ils suivent mes cours non pour apprendre leur métier – ce qu’ils font dans les centres de formation – mais pour réfléchir sur les publics, la commande sociale… L’histoire leur permet de prendre de la distance par rapport aux injonctions politiques et sociales actuelles et aux événements pour lesquels on exige d’eux des réponses immédiates… Le recul historique montre que ce qui est perçu comme nouveau l’est souvent moins qu’on ne le croit. Les travailleurs sociaux…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur