Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Par : Eléonore VariniLecture : 2 min.
Travailleurs sans papiers, élèves de sections d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA), personnes sans abri, malades Alzheimer ou séropositives… Les courts ou moyens métrages documentaires sélectionnés dans le cadre de la Biennale du film d’action sociale de l’IRTS Ile-de-France Montrouge-Neuilly-sur-Marne abordent tout le prisme des thèmes du social. Pour cette sixième édition, le festival, qui se dote d’un nouveau partenaire, l’Ecole normale sociale, modifie ses habitudes : depuis dix ans, la biennale avait lieu en février, elle se déroulera en 2015 à l’automne, à l’auberge de jeunesse Yves-Robert dans le XVIIIe arrondissement de Paris.Parmi les films marquants de cet événement, Une vie normale, d’Edouard Cuel, raconte les premiers pas dans la vie active de Vincent, jeune trisomique. Alors qu’il termine un stage en hôtellerie, son employeur lui propose un contrat en alternance, à condition qu’il trouve un centre de formation d’apprentis (CFA). Très vite, il se heurte à des discriminations inattendues. Dans Je vous salue ma rue (photo du haut), ce sont les sans-domicile fixe qui rencontrent des difficultés : à travers les témoignages de nombreux professionnels et les…
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